La voiture autonome est aujourd'hui un outils technologique important. Elle pourrait déjà rouler sur nos route si la loi le permettait. Elle présente ainsi des avancées conséquentes qui sont néanmoins limitées. En effet, certaines voitures d'essais comme la tesla modèle S a déjà subit des accidents mortels, mais ces erreurs de la voiture ont pu être enregistrées et ne se reproduiront pas à l'avenir.
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En effet le système d'intelligence artificielle n'est pas fiable à 100%. Elle est créée par l'homme donc susceptible de contenir des erreurs. Elle ne peut pas non plus répondre à toute les situation imaginables.
La portée des capteurs limite la vision de la voiture. De plus, la moindre panne technologique serait plus complexe à réparer. Des pirates pourraient également prendre la contrôle de la voiture à l’insu du conducteur. C'est pourquoi le constructeur Tesla promet une prime à celui qui réussira à pirater une de leur voiture, dans le but de toujours améliorer son système informatique. Il existe déjà des objets intelligents qui ne peuvent pas être piratés, comme le "blockchain". En revanche la voiture suit des lignes blanche et respecte des panneaux qui peuvent eux mêmes être faussés.
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Les voitures autonomes utilisent des données contenues sur une carte. Ces cartes contiennent des informations cruciales au bon fonctionnement du véhicule, avec notamment la position des feux tricolores. Ainsi, la moindre modification de l’environnement urbain doit être détectée, puis modifiée sur la carte. Cela demande d’avoir beaucoup de personnel mobilisé pour surveiller ces modifications. Ces mises à jour risquent de mettre trop temps à être effectuées.
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Un des plus grands obstacles est la cohabitation entre des véhicules possédants des équipements très différents. Malheureusement, la création de voies spécifiques aux véhicules autonomes coûterait trop cher.
Enfin, l’environnement des véhicules autonomes freine leur développement. En effet, les véhicules sans pilote d'aujourd'hui ne sont pas capables de circuler correctement en cas de pluie ou de neige. Ces deux cas réduisent le champ d’action du LiDAR. En conséquence, certains panneaux, intersection, personnes, ainsi que les lignes blanches peuvent ne pas être détectés par la voiture. En effet elle reçoit alors la lumière de manière différente. Il faudrait donc développer de nouveaux capteurs.
Les conditions environnementales limitent aussi les capacités de la voiture. Par exemple, la fonction Park assist nécessite de pouvoir repérer la place et d'avoir une marge supplémentaire, dont l'homme n'aurait pas forcément besoin. La voiture serait dans certaines conditions moins performante que l'être humain.
Une voiture limitée
Nous pouvons donc dire que la voiture autonome aura du mal à se développer chez les particulier, mais peut être pas en entreprise. Dans des conditions, telles que des chantiers ou des mines, les véhicules autonomes pourrait améliorer la sécurité ou encore baisser les coûts en assurance.
Ces voitures pourront se connecter et se mettre sous forme de wagon, les unes derrière les autres à la même vitesse. Elles iront donc plus vite, les bouchons seront inexistant, elles consommeront moins grâce a la trainée aérodynamique minimisé et cela est plus écologique. Ces nouveaux véhicules contribueront également à fluidifier le trafic. Néanmoins il reste encore de nombreux progrès à réaliser puisqu’actuellement les véhicules autonomes savent se déplacer seulement à la vitesse de quelques kilomètres heures et ne savent pas être entièrement autonome en ville. Elles sont donc fiables dans les bouchons et sur l’autoroute si leurs vitesses le permettent .